Le métier de soigneur animalier s’exerce en parc zoologique, en zoo, dans un cirque ou une ménagerie et consiste à prendre soin des animaux.
Quelle étude faire pour être soigneur animalier ?
Le soigneur animalier est un métier qui demande une grande rigueur et beaucoup d’attention pour s’occuper des animaux. Vous pouvez devenir soigneur animalier après le bac, en préparant un bac pro CGEA (Conduite et Gestion de l’Entreprise Agricole), ou bien un CAPA métiers de l’agriculture, option soigneur animalier.
Vous pouvez également devenir soigneur animalier en obtenant une licence professionnelle dans un domaine scientifique ou technique lié à votre projet professionnel : sciences de la vie (biologie, écologie, éthologie), agronomie, horticulture ou encore vétérinaire.
Quelles sont les qualités requises pour être soigneur animalier ?
Vous devez aimer les animaux, car vous serez amené à prendre soin d’eux. En effet, le soigneur animalier est en contact direct avec les animaux. Vous devez donc aimer les observer et être à l’écoute d’eux pour pouvoir les soigner au mieux, en prenant en compte leurs besoins et leur caractère.
Il faut également être patient et avoir le sens des responsabilités, car vous serez amené à être présent auprès des animaux 24h/24 et 7j/7.
Vous devez également avoir une bonne condition physique, car il est nécessaire de pouvoir travailler en extérieur, par tous les temps (pluie, vent, froid), et d’être en contact avec les animaux.
Enfin, une des qualités requises chez un soigneur animalier est la curiosité, car vous serez amené à observer et à étudier les animaux. Vous devez donc être en mesure de vous intéresser aux autres espèces et d’apprendre d’eux afin de pouvoir mieux soigner et nourrir les animaux dont vous prendrez soin.
Quel est le salaire d’un soigneur animalier ?
Les soigneurs animaliers peuvent travailler au sein d’entreprises spécialisées, d’un zoo, d’un cirque ou encore d’une animalerie. Ils sont également nombreux à travailler pour des refuges et autres associations.
Le salaire du soigneur animalier en Suisse est plus élevé que dans les autres pays européens, notamment parce qu’il est mieux considéré qu’en France et en Belgique.